Au ministère du Pétrole, des Mines et de la Géologie, certaines perceptions véhiculées dans l’ombre cherchent à réduire l’action de la ministre Ndolenodji Alixe Naïmbaye. Pourtant, les faits et les évolutions internes démontrent qu’elle est pleinement à la hauteur des responsabilités qui lui ont été confiées. Depuis son arrivée, elle s’attèle à réorganiser un secteur stratégique historiquement traversé par des rivalités et des influences parallèles, ce qui dérange inévitablement certains acteurs habitués à des pratiques d’un autre temps.
Contrairement à ce que propagent quelques voix isolées, Mme Alixe dispose d’une compréhension solide des enjeux pétroliers, miniers et géologiques. Ses orientations mettent en avant la transparence, la discipline administrative et l’efficacité technique. C’est précisément cette volonté de remettre de l’ordre et de recentrer le ministère sur l’intérêt général qui suscite la résistance de certains cadres, qui peinent à s’adapter à un mode de gouvernance fondé sur la rigueur plutôt que sur les arrangements personnels.
Les allégations selon lesquelles des généraux ou des responsables « proches de Kaka » ne suivraient plus les orientations ministérielles relèvent davantage de la manipulation que d’une réalité institutionnelle. En vérité, ces narratifs sont entretenus par des imposteurs et de mauvais esprits cherchant à créer artificiellement l’image d’un ministère divisé. Leur objectif est clair : affaiblir l’autorité politique légitime et perturber les réformes engagées.
La ministre, quant à elle, n’a jamais cessé d’affirmer une ligne de conduite claire : chaque responsable, civil ou militaire, doit se conformer aux règles, aux procédures et aux priorités définies par l’État. Cette posture ferme, mais juste, bouscule ceux qui étaient habitués à contourner l’autorité ministérielle pour servir des intérêts privés ou des réseaux informels.
S’il est vrai que le ministre Djerassem Le Bemadjiel a laissé une image forte et respectée, la comparaison avec la période actuelle doit être faite avec objectivité. Mme Alixe ne cherche pas à reproduire un style, mais à instaurer une gouvernance moderne, ancrée dans les exigences de la 5ᵉ République et orientée vers les objectifs ambitieux du PND 2030. Sa gestion repose sur l’ouverture, la maîtrise technique des dossiers, la concertation institutionnelle et la lutte contre les influences négatives.
Aujourd’hui, loin de l’image de fragilité que certains essaient d’imposer, le ministère connaît une stabilisation progressive, une clarification des circuits décisionnels et un recentrage sur les priorités nationales. Mme Alixe assume pleinement son rôle politique, administratif et stratégique, malgré les campagnes de dénigrement orchestrées par ceux que dérange son souci de transparence et d’ordre.
Au moment où le Tchad entre dans la phase opérationnelle du PND 2030, il est essentiel de reconnaître le leadership de la ministre Ndolenodji Alixe Naïmbaye. Son engagement, son sens de l’État et sa résistance face aux tentatives de déstabilisation en font un atout majeur pour garantir un pilotage souverain et efficace d’un secteur vital pour l’économie nationale.
Dans ce contexte, soutenir son action et dénoncer les imposteurs devient un impératif pour tous ceux qui souhaitent voir le secteur des Hydrocarbures, des Mines et de la Géologie avancer dans la stabilité, la rigueur et l’intérêt supérieur de la Nation.
Tchad ALYOM



