Chronique : comment faire le tri de bonne et mauvaise conscience ?
Nous vivons dans un monde où tout est compliqué, les gens aiment faire ce qui est toujours tordu, et plus tard vivent du remords. D’autres s’en fichent totalement et souvent sont attaqués par de crises cardiaques et autres. Nous parlons de comment éviter de tomber dans de tel piège et quitter le monde sitôt.
Les Saintes écritures parlent souvent de bonnes et mauvaises consciences. Comment faire le tri ? Voici quelques symptômes pour que l’on soit libre d’un des effets des plus néfastes de la mauvaise conscience : la culpabilité.
La mauvaise conscience est toujours accusatrice. Adam et Ève se sont sentis coupables d’être nus. Le deuxième symptôme c’est qu’ils se sont cachés de la présence de Dieu, se séparant eux-mêmes de cette présence bénéfique. Le troisième symptôme c’est que tous les deux se sont mis à accuser les autres pour la faute commise (Ève : « c’est à cause du serpent ». Adam : « c’est à cause de la femme que tu m’as donnée »). En résumé, nous pourrions dire que la mauvaise conscience s’enferme dans la culpabilité, l’éloignement de Dieu et des hommes et le ressentiment.
La bonne conscience cependant se laisse convaincre par le Saint-Esprit qui utilisera souvent la Parole de Dieu pour prévenir devant une tentation ou pour convaincre après avoir commis le mal « convaincre » et non « culpabiliser » ! Elle pousse aussi à faire de bons choix pour plaire à Dieu. Elle apporte enfin un contentement intérieur parce que l’on se sent approuvé de Dieu. En résumé, la bonne conscience provient d’un cœur sincère qui se laisse interpeller par maître de l’univers (Dieu).
La force spirituelle et l’assurance de l’homme devant Dieu dépendront de comment l’homme va se débarrasser de cette mauvaise conscience. La mauvaise conscience tue facilement, alors il faut faire ce qui est bien pour être aimé du créateur de l’univers.