Media : la HAMA et les promoteurs des médias électroniques se
Depuis un bon bout de temps, la haute autorité des médias et de l’audiovisuels et les promoteurs des médias électroniques sont en couteaux tirés. Le président de la HAMA Abderrahmane Barka Abdoulaye Doningar dit avoir raison et les patrons de médias électroniques disent que c’est eux qui disent vrai. Devant cette situation, un profane ne peut pas dire mot. Tout ce qui est basé sur la loi, se vérifie par la loi.
Alors que dit la loi de la République tchadienne face à cette discorde entre les hommes aux plumes ? Très rapidement, feuilletons les lois voir ce qui est dit dedans concernant les champs d’action des presses en ligne. D’après la loi 31, écrit en français facile, dans son article 25, deuxième tiré stipule que : « …le service de presse en ligne offre un contenu utilisant essentiellement le mode « Écrit et Audiovisuel, faisant objet d’un renouvellement régulier, daté et non pas seulement de mise à jour ponctuelle et partielles », fin de citation.
À ce niveau, on voit et lit clairement que les presses électroniques sont dans la logique de choses. Ils respectent la loi car ils font ce que les autorités veulent. Mr Abderamane Barka n’a pas fait attention à ce texte, ou bien c’est une manière de piétiner les journaux à cause de sa position ? S’il y a un problème quelconque avec ces médias ne vaut-il pas mieux de les conseiller pour être plus professionnel ?
Le travail des journalistes est un travail ingrat dit-on, il ne paye pas mais informe en temps réel la population pour un changement de comportement et le bon vivre de cette dernière. Abderamane Barka Abdoulaye Doningar en tant que professionnel doit mettre de l’eau dans son vin car sa fonction actuelle à une fin. En tout cas que la loi reste la loi au moins qu’une autre loi verra le jour pour contraindre les médias en ligne à se rabattre sur le joug que fabrique le président de la HAMA