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Société :Le développement d’un pays dit-on se fait par les transactions terrestres, maritimes et fluviales

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À N’Djamena dans la capitale tchadienne, on assiste à un phénomène qui dépasse l’entendement. Lorsqu’on parle de dégradation des voies publiques, cela nous pousse à se poser de question à savoir si le gouvernement et les transporteurs ont-ils un intérêt particulier qui les empêche de se parler vrai vrai et face à face.

Toutes les rues qui mènent aux marchés de N’Djamena sont à désirer. Tout est dégradé. C’est dans cet état de route que les conducteurs des engins confondus se peinent pour servir la population. Dans tout ça, ces derniers ne se gênent pas. D’autant plus que ces routes ne sont pas entretenues, ces conducteurs sans s’inquiéter exercent normalement leurs activités.

Les gros porteurs et les bennes qui gâtent le plus les routes sont-ils en complicités avec le gouvernement? Puisque aucun d’eux ne se gêne.Dans tout ça, c’est la population qui est perdante. Voyons un peu, la descente au fleuve chari à côté de boulangerie Hyba, le goudron de ce lieu est englouti par les dunes de sable.

Pour maintenir les routes en bon état, il faut qu’il ait une bonne politique entre le gouvernement et les transporteurs. A l’heure où nous parlons, l’accès au marché de Dembé, abena, marché à mil, marché d’amtoukoui et Avd pour ne citer que ceux-là est lamentable. Non seulement, les engins se détériorent facilement mais même les chauffeurs souffrent dans leur corps. Ils en témoignent mais comme il n’y a pas autrement ils sont obligés de faire.

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