Société : contrôle des pièces des engins, une nouvelle torture pour les usagers
Suite à l’annonce du DG de la police, accordant deux semaines franches aux propriétaires des engins à 4 et deux roues, le ministère des infrastructures appelé aussi travaux publics où l’on fait les pièces des engins est pris d’assaut ce 13 juin.
Beaucoup des conducteurs viennent pour répondre aux exigences du DG de la police mais, sur le terrain, une forme d’escroquerie se passe. Au niveau de service de fiche technique, malgré le nombre pléthorique des demandeurs de fiches techniques, il n’y a qu’une seule personne qui est chargée de vérifier et donner son mot avant d’aller à la caisse pour le versement.
Ceci est uniquement pour les engins à quatre roues. Là où certains clients ne sont pas d’accord, à chaque vérification, il faut donner une somme de 1000f par engins, chose qui ne se faisait pas avant la décision du DG. Les engins à deux roues n’intéressent presque pas le vérificateur. Il faut le supplier avant d’accepter malgré lui de remplir la fiche technique en question. Avec toutes ses grimaces, il remplit avec erreur.
Certains demandeurs déploient l’organisation pratique de ce travail. Pour eux, il suffit de confier à la police les fiches techniques vierges, lorsque quelqu’un est arrêté et qu’il n’a pas, il paie sur le champ et on la lui délivre. Ou soit, il faut ouvrir plusieurs guichets pour faciliter la tâche à ceux qui laissent leur bureau pour venir faire les pièces de leurs engins, proposent-ils. Car avec la méthode actuelle où une seule personne doit donner son avis favorable et un seul guichet pour la caisse ne rend pas service au client, concluent-ils.