#Société : Encombrement des voies publiques à Ndjamena, les usagers se peinent énormémen
Le rond-point à double voie, deuxième voie de sortie après celle de chagoua de la ville de N’Djamena vers le sud du pays est surchargée de jour en jour par les encombrements qui occasionne d’une part des accidents et d’autre part des empêchements divers. Le constat est réel et très visible. A cela s’ajoute la recherche de carburant à la pompe qui bloque carrément le passage.
Dès 6 heures, l’on négocie le passage pour se rendre dans son lieu de travail. L’embouteillage au rond-point double voix devient très exagérés en ce dernier temps, presque que toutes les heures l’on fait face à l’embouteillage qui porte des effets négatifs. Vers les 6h fort voire 9h et de 15h voire 20h les motocyclistes klaxonnent dans tous les sens.
A partir de l’entrée du point à double voie passant par le rond-point et les habitants venant de gassi et ses alentours se jettent sur l’unique voie vers le centre-ville. Les engins alignés sans une queue et de façon désordonnée, ce qui provoque des accidents pitoyables le plus souvent aux motocyclistes.
L’encombrement du rond-point à double voix traine les élèves et les enseignants venant de gassi, walia, chagoua d’être en retard au cours. Alors que l’heure de la rentrée des classes est fixée à 7h00 pour certains et d’autres 7h 30. Pourtant, c’est à ces heures que les élèves sont bloqués. Ces derniers viennent au cours souvent avec un retard de 30mn voire 1h du temps.
L’on se pose la question de savoir, si c’est le sur nombre des engins, les gros porteurs et les bens qui créent de blocus ou encore le manque de la maîtrise de la circulation des policiers ? Une question qu’on n’en posera jamais assez. Pourtant dans les années précédentes l’on constate que c’est tous les weekends et journée courte que la population à de la peine à traverser le Pont.
Tout ça, c’est au vu et au su des policiers chargés de régulariser la circulation, qui, quelque fois par manque de professionnalisme induisent les usagers en erreur. Oui, s’ils libèrent à la fois les usagers de part et d’autre il y aura de chevauchement. Quelque fois, ce sont les usagers impatients ou déjà en retard au travail qui perturbent la circulation. Il y a beaucoup d’engins à N’Djamena mais pas de routes pour les desservir. A ce niveau, il faut aussi, une sensibilisation digne de nom à la population pour résoudre ce problème sinon, on en parlera encore et encore malgré l’existence du nouveau code de la route.