Société : la transition de la vie chère
Depuis la prise du pouvoir par un groupe de généraux à la suite du décès du président Idriss Deby Itno en avril 2021, rien ne marche dans au Tchad. On dirait que c’est le partage de gâteau où chacun veut avoir le plus gros morceau rendant ainsi difficile vie aux autres.
Que de promesses non tenues. Les tchadiens sont des sujets à jamais. De tortures morales et physiques vont grandissantes, la méchanceté bât de record et ce sur tout plan. Où va le Tchad qui faisait beau vivre ? Des semaines peuvent passer dans l’obscurité sans pareille, les nourritures déjà rares que certains gardent dans le congélateur pourrissent par manque d’énergie, le cas de vol s’augmente même en plein jour. Pourtant ce sont de choses qui ne peuvent pas se faire par ce que c’est un général qui est au règne.
Au nom de la transition apaisée le peuple périt
Une transition apaisée doit arranger la situation de son peuple mais c’est le contraire. Elle doit l’amener à vivre le minimum d’un essoufflement et même les partis politiques doivent se sentir à l’aise dans leur fonction. Parlant d’une transition apaisée, c’est corriger les failles du pouvoir existant.
C’est sous cette transition que les gens ont reçu les autorisations de manifester, quel vent qui souffle maintenant que le gouvernement interdise la manifestation même dite pacifique ? Le pouvoir, c’est Dieu qui donne, comme a annoncé le président de transition, mais à quoi à t’on peur? Ce que Dieu décide l’homme peut-il s’opposer ? Absolument pas. Mais le bon cœur de Mahamat Idriss Deby Itno a cédé la place à quel cœur l’on se demande ?
La méchanceté n’a jamais grandi quelqu’un. Même si ce dernier croît grandir, il finira fatalement sa course. Alors, que son âme sera jugée devant le tribunal sans corruption. Que le gouvernement de transition aime un peu son peuple. Son peuple a trop peur de lui et cela devient de l’idolâtrie et c’est ce que Dieu ne veut pas. Dieu veut que les hommes le craignent lui et lui seul.
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