Éducation : le Conseiller national, Beral Mbaïkoubou plaide pour ne pédagogie d’utilisation es NTIC
Le conseiller National, BERAL MBAIKOUBOU interpelle le ministre de l’éducation nationale et de la promotion Civique sur l’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication comme matière propre afin d’inculquer le bon usage des réseaux sociaux aux enfants.
Reconnaissant que ces outils sont incontournables, le Conseiller Beral souligne que ces technologies sont entrées par effraction chez chacun de nous et chacun a appris à se servir de ces moyens par des moyens détrônés. « Il existe pas des solutions structurelles qui fassent que nos enfants soient initiés ne ce reste qu’à l’informatique et au traitement des tests à l’école », regrette le Conseiller Beral Mbaïkoubou.
L’absence d’une pédagogie et d’une méthodologie entraîne une mauvaise utilisation de ces technologies à la porté des mains de nos jours. Pour ce philosophe député, une seule la pédagogie et la méthodologie pourront inculquer de manière sage et réfléchit d’utilisation de ces outils à nos enfants.
Le mauvais usage de ces technologies de l’information et de la communication plonge à l’une des causes des messages de la haine et de la division. Selon Beral chacun a attrapé un bout de ces technologies et l’utilise à sa guise. C’est qui fait que ces supports sont devenus le véhicule de la haine et de la discrimination, le véhicule de la zizanie, le véhicule de division. Ce n’est pas étonnant dit le conseiller. « C’est l’école qui peut induire de manière réfléchie et de manière distillée des connaissances surtout celles comme les nouvelles technologies de l’information et de la communication », renchérit-il.
En interpellant le ministre de l’éducation nationale et de la promotion Civique, Beral Mbaïkoubou demande que fait le ministère pour intégrer ces technologies comme matières promore dans le cursus scolaire. Pour lui, c’est un changement que le Tchad e peut éviter parce qu’il e vit pas au vase clos. « Le Tchad est un pays entièrement articulé aux autres. Et partout où le savoir sera généré nous serons embarqués que nous ne voulions ou pas », précise-t-il.